• Nom scientifique : Urodynamis taitensis (Sparrman, 1787)
  • Noms polynésiens : ’Arevareva, pareva, tehefa, o’oea (Tahiti), ’o’ovea (Maupiti), kurevareva (Tuamotu du nord), kakaveka (Mangareva), ka’eva’eva, kaevaeva, karevareva, ko’eva (Marquises), o’oroveo (Tubuai), Oroveo (Rurutu), titi orovea (Rimatara), ko’e ko’e (Rapa)
  • Ordre : Cuculiformes
  • Famille : Cuculidae
  • Catégorie : Oiseaux migrateurs
  • Distribution : Nouvelle-Zélande (reproduction), Polynésie française (tous les archipels)

Aspect et identification

40 cm. Mâle et femelle d’apparence identique. Le dessus du corps est brun strié de roux et tacheté de blanc au niveau des ailes. La poitrine et le ventre sont blancs mouchetés de brun. Deux bandes claires en V encadrent l’œil. Les rectrices sont particulièrement longues. Les pattes sont courtes. Le bec, de couleur jaune, est fort et recourbé à son extrémité.

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Caractéristiques

Se reproduit en Nouvelle-Zélande puis migre dans de nombreuses îles du Sud-Ouest du Pacifique. Les coucous arrivent en mars-avril sur le Territoire et en repartent en septembre-octobre. Quelques rares individus restent dans les îles du Pacifique pendant l’été austral. Présent dans tous les archipels de Polynésie française.

En Nouvelle-Zélande seulement. Un œuf unique est pondu dans les nids appartenant à d’autres espèces d’oiseaux tels que le Mohoua à tête blanche (Mohoua albicilla), Mohoua à tête jaune (M. achrocephala) ou le Mohoua pipipi (M. novaeseelandiae).

Solitaire et secret, il vit dans la canopée des forêts où il est rarement vu.

Il émet de puissants sifflements en cas de danger ou juste avant une averse, ce qui lui vaut son surnom polynésien « d’oiseau de pluie ».

Elle est variée, composée d’insectes, de lézards, d’œufs et d’oisillons.

Distribution

Se reproduit en Nouvelle-Zélande puis migre dans de nombreuses îles du Sud-Ouest du Pacifique. Les coucous arrivent en mars-avril sur le Territoire et en repartent en septembre-octobre. Quelques rares individus restent dans les îles du Pacifique pendant l’été austral. Présent dans tous les archipels de Polynésie française.

Reproduction

En Nouvelle-Zélande seulement. Un œuf unique est pondu dans les nids appartenant à d’autres espèces d’oiseaux tels que le Mohoua à tête blanche (Mohoua albicilla), Mohoua à tête jaune (M. achrocephala) ou le Mohoua pipipi (M. novaeseelandiae).

Habitat

Solitaire et secret, il vit dans la canopée des forêts où il est rarement vu.

Voix

Il émet de puissants sifflements en cas de danger ou juste avant une averse, ce qui lui vaut son surnom polynésien « d’oiseau de pluie ».

Alimentation

Elle est variée, composée d’insectes, de lézards, d’œufs et d’oisillons.

Statut et protection

Cette espèce est non menacée. En revanche, c’est un prédateur des nichées d’oiseaux endémiques de Polynésie française.
L’espèce est classée « préoccupation mineure » (LC) sur la liste rouge de l’UICN.

Texte original de Caroline BLANVILLAIN – Compléments et mise à jour par divers membres de la SOP Manu.